Nous avions peu de kilomètres pour rejoindre Ancône, mais il fallait déplanter, ce qui est assez long (enfin dans notre cas, avec tout le B%§$! que l’on trimbale), et dès le matin, il fait chaud, on tourne au ralenti.
Un petit incident technique plus tard :
Nous avons pu rejoindre Ancône.
Pour attendre le ferry, c’est un bazard innomable avant de pouvoir monter à bord, notamment une grosse attente à la douane.
La nuit sur le ferry fut calme, tout se perd, Léon n’a même pas le mal de mer 🙂
Waou